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La Grande Aventure du Jour de Vie

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La Grande Aventure du Jour de Vie Empty La Grande Aventure du Jour de Vie

Message par Bild Mar 23 Oct - 22:38

La Grande Aventure du Jour de Vie -   Le Nouveau Commencement

PROLOGUE

Onlap...Dernier Bastion des forces de Dreckin...

La douce brise de la nature humide en cette fin d'année... Veille du Jour de Vie... Un vent de renouveau souffle sur l'herbe fraiche de l'aube Onlapien, alors que dans le ciel...La terreur d'une air ancienne refit face à la galaxie... Des Destroyers Stellaires impériaux cachés le soleil, leurs puissance en nombre était le symbole d'un empire de guerre reviguoré, d'un pouvoir de destruction retrouvé...

 Les alentours des usines de Dreckin étaient déserts, les êtres vivants étaient retranchés dans ces immenses tombeaux de pierres nacrés.. alors que des navettes de transport descendaient à leurs rencontre...

La lumière rouge, les douze soldats répartis en deux rangés de six étaient debout, blaster accroché au gilet tactique, le bras droit tendu vers les attaches pour conservaient leurs appuis alors que les vibrations ne cessaient guères, sur leurs armures sombres reflétaient la froideur d'un moment de solitude, ils étaient seuls avec eux mêmes, motivés et concentrés sur leurs unique objectif, affirmé la gloire à l'empire galactique. Un soldat passa entre les deux rangées, il semblait plus âgé, il vint ce placé au plus prêt de la passerelle, il était bien l'officier de  section, il se tourna vers eux, de sa voix rugissante il s'écrit des paroles que tout soldat devait connaître.

Aujourd'hui est l'aube de la reconquête galactique, vous vous battez pour la plus grande puissance galactique, vous vous battez pour l'empire, alors soyez digne et fier durant la bataille, cette bataille c'est la nôtre, pour l'empire !

D'un geste uniforme, les douze soldats levèrent leurs bras gauche, poings serrés et s'exclamère "Ad Imperii Gloria !!", alors que les turbulences touchées leurs poing d'orgue, la lumière d'ambiance passe au vert, alors que la trappe se baissait, on pouvait sentir l'excitation maladive des soldats qui n'attendaient qu'une seule chose, se battre !

La trappe baissait, ils se jetèrent à pleines enjambées à l'extérieur de la navette, alors que certains étaient déjà à couvert, un soldat lui regardait autour de lui, découvrant enfin la lumière du jour, sous son casque il ressentait l'air propulsé par les moteurs à réaction d'une volée de chasseurs volant proche du sol qui accompagnaient des bombardiers qui réduisaient les portes fermées de la citadelle en miette, offrant aux forces impériales un panache d'or ainsi qu'une parfaite entaille dans la défense adversaire...Du moins si il y en avait bien une...

Le soldat tourna la tête, surpris qu'un sith se trouvait à ses côtés, dans la tenue emblématique portée par ces guerriers durant toutes les grandes batailles, lui aussi c'était stoppé, alors que la lueur rouge-sang paraissait de son sabre laser, de derrière son masque il devina que leurs sentiments étaient réciproques en ce jour, ils attendaient ce moment, et ils étaient ensembles, prêt à en finir avec l'ivresse d'un groupe formé par un traître de longue durée nommé Dreckin, inclina le chef, tout comme ses semblables, son masque était magnifiquement orné de gravures, de derrière son casque sobre de soldat, Nelsien était éblouis, il resta un moment là, sans bouger, admirant le sith qui venait de lui tourner le dos et qui c'était déjà engouffré au plus prêt du combat, Alsien avait durant toute son enfance entendu parlait de ces êtres aux pouvoirs magiques pouvant rétablir la paix dans la galaxie, aujourd'hui, il en avait rencontré un, l'émotion était palpable, mais il se reprit, suivant celui qu'il avait admiré plus tôt vers l'intérieur..

Quelques minutes plus tard...

Alsien et ces confrères n'avaient trouvés aucune résistance militaire, seulement des civiles esclaves du système impérieux mis en place par Dreckin, si l'être n'existait plus, aujourd'hui, ils s'assuraient qu'il ne puisse plus jamais refaire surface, ils plaçaient des explosifs sur les parois des usines, sur les machines, détruisant toutes les bases de données qu'ils trouvaient...  Les sith supervisés la manœuvre, il n'y en avait peut être pas autant qu'à la première période de reconquête, mais ils étaient bien là, Alsien avait fini de posté ces explosifs, c'était un merdier pas possible, il fallait les graissais pour qu'ils collent bien au mur, il en avait un paquet à placer. Un sith s'approcha de lui, baissant sa capuche, retirant son masque, dévoilant son visage, il était rasé de prêt, les cheveux mi-longs.

Besoin d'aide soldat ?
C'est un jeu d'enfant excellence.
Je n'en doute pas, mais peut être que ça ira plus vite ainsi
Je pense bien que vous avez plus important à faire en tant que guerriers que faire cela n'est-ce pas excellence ?
En effet camarade, surveiller que le travail est bien fait, mais nous ne sommes pas des Seigneurs, et vous n'êtes pas de plèbe, on peut donner un coup de mains, chacun doit faire cet effort.

Alsien jeta un regard au loin, d'autres sith avaient entendus leurs conversation, bien que leurs sentiments étaient imperceptibles sous leurs masques, ils avaient prit notes, désormais, militaires et sith placés des explosifs ensemble. Alsien repris le travail, laissant le sith l'aider.

Dites moi excellence, c'est à vous aussi vôtre première bataille ?
Je ne sais pas si on peut dire ça, ce n'est pas ma première bataille, mais vu vôtre âge camarade je vous auraient jugés plus expérimentés dans le combat.
Je le suis, mener ma vie au quotidien est une bataille.
Hé bien.
Oui, je suis fils de fermier, d'une famille qui a connu les classes de sous officiers durant les guerres, d'habitude, c'est plus les fusils de chasse que j'utilise plutôt que des fusils blasters.
Alors vôtre expérience est tout autre que les champs de batailles, mais des champs de bétails, vous semblez sous l'émotion tout à l'heure.
Oui..Quand j'étais gosse, mon père me racontait des histoires au sujet des sith, de leurs pouvoirs, avant de me mettre un coup de pied au cul en me disant que ceci n'est ouvert qu'à des élus naturels.
Et donc, c'était la première fois que vous voyez un sith.
Oui, on m'avait dis que vous étiez spécial, de prêt, vous paraissez identique à tout le monde.
Hé bien on ressemble à ça, la plupart...Mais il y en a des différents.
Ça marche..

Une secousse...

      -C'est vous qui avez fait ça ?
      -Comment vous voulez que je fasse ça ?
      -La force non ?
      -Ce n'est pas comme ça que ça fonctionne la force..

Puis une sorte de corne de brume raisonna dans les couloirs..

Préparez-vous soldat, * il remit son masque * Il est l'heure de ce battre.

Ils se dépêchèrent de sortir, Alsien leva la tête alors que le soleil l'aveuglait, il baissa la tête, il vit le sith tendre sa main vers lui, le repoussa par la force alors qu'un chasseur vint s'écraser..

Le soldat bascula par dessus une rambarde, heurta le sol et resta là inconscient...

-Tu m'entend ? Hey gars ? * alors qu'une main tapait sur son casque, Alsien ouvrit les yeux *
-Qu'est-ce...
-C'est la guerre, aller ! Avec ton unité, on a pas de temps à perdre !
-A vos ordres..

Alsien se leva, couru vers les soldats impériaux, dans le ciel les destroyers affrontaient des destroyers de la république..

Dans le ciel bleu de Onlap, la bataille faisait rage. Alors que des transports évacués les soldats..

Alsien toujours groggy chuta, un de ses coéquipiers le prit par la manche, l'amenant avec lui dans une navette, il se tourna, alors que la navette de décollait... Il avait une vue sur les usines qui explosaient, en face, les forces de la république se trouvaient en opposition... Il pouvait voir les lueurs vertes et bleues des sabre laser de jedi ayant débarqués.. Enfin la trappe se referma, laissant la navette dans l'ombre la plus totale...

Chapitre I – Un Nouveau Commencement

Sur Nar Shaddaa, l'heure était comme chaque année, à la fête, les places publiques étaient emplis de sapins, de personnes en costume de père de Vie, les chansons joyeuses, tout le monde fêtait cela à sa manière..

Dans un studio, le réveil indiqua 8:00, il sonna donc, une main tapa dessus pour l'éteindre, elle se leva, la musique s'alluma automatiquement, elle appuya sur le bouton de la machine à café, celle-ci lui faisant un expresso, elle prit son pantalon, elle s'habilla non s'en mal, elle renifla légèrement sa veste, elle arqua un cil déclarant "Au top", elle changea de soutiens-gorge, elle mit un haut, elle prit son stimcaf, souffla au dessus pour en faire partir le surplus de chaleur, le buvant d'un coup sec, elle entendit la sonette à sa porte, intriguée, elle arqua à nouveau le cil, se dirigeant vers celle-ci et l'ouvrit...

Derrière la porte se trouvait une femme adulte, d'une cinquantaine d'années, et des enfants.

Joyeux jour de vie !!
Ah, joyeux jour de vie à vous aussi les enfants..
Nous allons vous chantaient mon beau sapin. * la chorale se prépara alors qu'elle referma la porte à leurs nez sans perdre un instant de plus *
Merci ! C'était géniale !


Tout sourire, elle se dirigea devant la glace, elle se détailla, enfilant son bonnet rouge à pompon blanc du jour de vie, Jun était prête pour une nouvelle journée.

Elle se dirigea vers sa fenêtre, celle-ci donnée sur un échaffaudage, elle récupéra ses écouteurs, les glissa à ses oreilles, mettant de la musique à fond dans ses oreilles, alors qu'une lettre ce glissa sous la porte, elle se baissa pour la récupérée, c'était un avis d'expulsion.

Elle haussa les épaules, ouvrit la fenêtre, se hissant sur l'échauffadage, elle ferma la fenêtre qui était dans un sale état, elle parcourue donc l'échaffaudage, d'un geste las et désintéressée elle rejeta la lettre dans le vide derrière elle, alors qu'elle descendit enfin dans la rue, où la foule était réunie en nombre, toujours écouteurs aux oreilles, elle se dirigeait tranquillou à son bar, devant le bar trainait déjà les consommateurs habituels qu'elle surnommait "poivrots", elle s'approcha, elle ferma le poing pour qu'ils check avec elle, elle ouvrit la porte et entra, suivie de son troupeau d'alcoolos..

Un type dormait sur le comptoir, elle avait du oubliée de le mettre dehors la veille.

J: Aller, on se réveil Barney. * déposant son bonnet sur le crâne de l'alcoolique endormis *

Ce matin, c'était jus de fruits offerts, elle enchaina les verres, il y avait facilement une vingtaine de personnes présentes, elle offrait les gateaux ainsi que les boissons, ce "rad" n'était en effet pas digne de classe comme la pente glissante, mais il y respirait un côté joyeux et amical qui se trouvait nul part ailleurs d'un bar.

Elle se tourna, humidifia un torchon, essuyant un cadre pour le nettoyé, elle glissa la photo de Bully, ils avaient prit tout les deux cette photo durant une soirée chamallow au bord d'un feu de camp, elle accrocha le cadre au mur, elle y laissa demeurer un sourire satisfait. Son holo vibra, elle prit donc le soin de le sortir de sa poche, le consultant, c'était un appel de sa soeur, Asuka.

J: Asuka, comment ça va ?
A: Très bien, je te remercie.
J: Joyeux Jour de Vie, que me vaut ton appel ?
A: Je souhaitais te présenter mes plus humbles vœux de bonheurs pour ce Jour de Vie.
J: Hé bien merci, tu veux passer au bar ? Il y a Carl et Lenny si tu veux, ils ont des anecdotes de fous les deux là, ils sont tellement marrant quand ils tournent au jus de fruit. * rit *
A: Je te remercie pour ton honorable proposition, mais mon temps est dédié à l'association.
J: Oui, c'est vrai, écoute, je passerai, venir aidée à distribuer les cadeaux, la nourriture et tout..
A: Ne t'oblige pas à subvenir à cette tâche.
J: Ne t'en fais pas, je le souhaite, ça me fait plaisir, vraiment.
A: Bien, alors j’attends ta venue tel une stèle diamantée au cœur d'un jardin ensoleillé.
J: Oui moi aussi...J'attend de venir tel...Une télé...Diomandé...Au corps d'un chat et chiant gominé...* essayant maladroitement de répétée * Aller...A plus ! * Elle coupa la communication *

 Asuka rangea son holo dans sa poche, elle se tourna quand une voix l'interpella.

J: S'il vous plaît.. * il lui montra ses mains, elles étaient sales, il y avait du chocolat *
A: Ah monsieur José,  c'est vous, les salles de bains se trouvent au second étage, prenez l'escalier au fond à droite, vous aurez l'occasion de monter les deux étages..
J: Bien, merci beaucoup mademoiselle Asuka.
A: * Elle lui sourit *

Elle le laissa donc s'en aller, elle se dirigea donc au centre de ce qui semblait être un ancien amphithéâtre, là se trouvait désormais des lits, bureaux et des tables de jeux, Asuka avait récupérée ce qu'elle pouvait pour offrir le meilleur confort aux personnes les plus démunies.. Elle se dirigea vers un vieil homme en fauteuil roulant.

A: Mes salutations monsieur Bruce, Je vous souhaite un joyeux jour de vie. *se plaçant derrière le fauteuil, pour le pousser *
B: Joyeux...Dites ça à mes jambes.
A: Le moteur n'est rien sans l'esprit monsieur Bruce, je vous conseil à nouveau la méditation, vôtre spiritualité vous permettra d'atteindre une alchimie douce et reposante.
B: Ouai...Je sais bien...Mais la méditation c'est pour les bridés..Sans vouloir vous vexés, bien que vous avez l'air d'être un peu tombée loin de l'arbre, car...Vous n'avez pas des yeux de croissants..
A: Monsieur Bruce...Le racisme et les idées reçues sont un mal que vous n'avez pas à imposer, malgré la perte moteur de vos jambes, la sérénité dépasse cultures et religions monsieur Bruce..
B: Vous savez, jusqu'à maintenant, la spiritualité qui m'a aidé s'appel le pinard.
A: Toute forme d'alcool est prohibé au sein de cette association monsieur Bruce, ceci dans le but de vous empêchez de vous noyez dans une perte de conscience réelle temporaire..
B: Ouai...Mais c'est bon le pinard..

Elle arrêta le fauteuil devant un lavabo. Elle lui donna donc le nécessaire pour se nettoyer le visage, ainsi que des instruments de rasages..

B: Hop hop hop..Ma barbe c'est ma meilleure amie..
A: Monsieur Bruce, une barbe est fal..* Il l'a coupa *
B: C'est bon d'accord, je vais me rasé, je vais me rasé.

Il fit donc le nécessaire, alors que Asuka l'aidait au besoin..

Chapitre II – Le monde d'en dessous

Port Nullepart... (Station spatiale regroupant de nombreux contrebandiers, ainsi qu'un grand nombre de petites délinquances galactique..)

Le jour de vie ce fêtais aussi ici, il y avait quelques sapins artificielle dans cette station...Une lumière tamisée jaunâtre alors que des caisses se trouvaient à l'entrée, adossés à celle-ci des ivrognes déchirés au trou noir ou à un peu trop de skolls.. Dans la cantina, au comptoir se partagaient corelliens, Sullustéens et un tas de races différentes...

On entendaient au fond de fumée de bâtons de cendres de nombreuses discussions, que ce soit des vendeurs qui essayaient de refourgés leurs camelottes ou bien même des alcooliques chroniques qui se vantaient d'avoir un jour pu soulevés un tronc d'arbre à une main..

De nombreuses offres d'emplois étaient affichés sur les murs, évidemment, des tas de chasseurs de primes tournés autour, quelques types en armures mandaloriennes, classique.

 Accoudé à un comptoir, un Bothan du nom Hodduror buvait son brandy Correlien, d'un geste las, il se tourna vers une table, s'asseyant en face d'un type plutôt gros, un humain, du nom de Jäger, Jäger dirigeait une entreprise de Contrebande, il était bien connu pour avoir une réputation d'homme à tenir sa parole...

J: Hé bien, vous voilà l'ami, cela faisait longtemps que je n'avais pas vu de Bothan, une perle que nous nous soyons rencontraient.
H: Espérons-le, si les autorités m'attrappe pour ça, je crois que peu importe ma bourse, jamais je n'aurai assez de crédits pour les faire oubliés.
J: Ne vous enfaites pas, nous sommes une assurance de qualités, on réussit toujours nôtre coup.
H: En parlant de vôtre...Coup, j'espère que vôtre contrebandier est fiable.
J: Ne vous enfaites pas pour ça, j'ai mis l'excellence de qualité à vôtre service, le contrebandier le plus cher, le plus expérimenté, il a déjà la barbe grise, un chapeau de western et oeil de linx, croyez-moi, le bonus que je vous ai demandé était pour la qualité du service...

 Correlia, quartier du Bourge...

Le petit appartement, casimment vide abrité un lit, un réfrigérateur, une petite salle de bain et...Un réveil, celui-ci sonna, pour la sixième fois, la couette s'abaissa, dévoilant une longue chevelure rousse, elle s'étira, bailla, prenant le réveil...

Je suis réveillée, je suis réveillée ! * elle coupa le réveil, puis ses yeux s'agrandirs quand elle vit l'heure, 8: 00* Et je suis en retard !!

Elle se jeta hors du lit, courant à la salle de bain, allant se laver... S'habillée et tout ce qu'il faut. Une fois sortis de la salle de bain elle récupéra son sac, y mis ses lèvres et cahiers et se précipita vers la porte, elle marcha sur une lettre quand elle ouvrit la porte, un homme, habillé tout en noir, couleur de peau noir, chauve et yeux noirs cybernétiques se trouvait derrière la porte, elle poussa un cri de surprise.

AH ! Matrix tu m'as fait peur !
Je vous ai déjà dis de ne pas me nommé ainsi, je me nomme Bich.
Oui, c'est un...Di..Minutif..
Absolument pas..
Qu'est-ce qu'il y a ? Jäger à quelque chose pour moi ?

Bich lui tendit une lettre, s'empressa de la prendre pour l'ouvrir rapidement. Elle l'a lit à haute voix.

Par la présence je me vois honoré de vous rédigez ce courrier mademoiselle Quinn Félicia, nous avons l'honneur de vous annoncez le refus de vôtre demande de bourse, nos vœux les plus distingués, la bourse universitaire Corellienne...

Sa voix remplie de joie c'était soudainement calmée, elle soupira..

Navré de la nouvelle petite, mais vous savez mademoiselle Quinn, c'était prévisible.
Ah oui et pourquoi ça ?
Parce que vous n'avez aucun revenus fixe, que vous n'avez pas de parents haut placé, que les études supérieurs coûtent extrêmement chers ici.. Mais surtout que vous êtes en impayé pour vôtre minuscule logement depuis longtemps.. * Elle leva le pied, dévoilant la lettre, un avis de saisie *
Oui, mais..Jäger me rémunère..* d 'un voix attristée *
Je ne sais pas pourquoi, mais la contrebande n'est pas reconnue comme un emploi légal dans la galaxie, et même, vous ne percevez qu'une très faibles somme de crédits, alors que l'université coûte très cher.
Oui je sais bien...Merci Bich.
Bonne journée.
Comment veux tu qu'elle soit bonne ?
Je disais ça pour le fond, pas pour la forme, du moins, la mienne sera bonne, au revoir.

De sa taille imposante il fit demi-tour, elle le regarda un moment, puis le réveil, elle était très en retard, elle se mit à courir, direction l'université...

 Elle arriva, enfin un tas d'étudiants marchés, elle tentait de passée, mais elle était bousculée, et enfin le drame arriva, ses livres chutèrent, elle se baissa, souhaitant les ramassés, un pied passa en plein milieu des bouquins, puis un autre, sans scrupule, ceux qui passaient n'évitaient pas les livres, elle encaissa un coup de sac à la joue droite, la décoiffant légèrement, elle prit réussie enfin à récupérée ses livres, elle se releva, surprise à nouveau, elle fit face à son professeur.

Professeur Tynone.
Que faites-vous mademoiselle Quinn ?
Hé bien je venais assistée à vôtre cours.
Mais mon cours est terminé, il y a de cela bien quarante minutes.
* Elle soupira légèrement * Felicia..Vous êtes constamment aux abonnées absente, vôtre moyenne baisse à vue d’œil, je n'ai toujours pas reçu le moindre de vos travaux scientifique..
Oui je comptais m'y penchais monsieur Tynone, je..
Je suis navré, mais à ce rythme là, vous serez recalée..
Recalée ?
Oui, le conseil intermédiaire se réunira dans trois jours, et décidera de ceux qui nous quitterons, et vôtre nom est en tête de liste..
Je fais de mon mieux vous savez, je..J'ai beaucoup de soucis, financiers, mon double emploi me paie peu, je n'ai pas beaucoup de temps.. Je ferai cet exposé promis.
Bien, mais je tiens à dire que Clara et Morgane partagent elles aussi un double emploi et n'ont aucun soucis. Vous devriez leurs demandées conseil.
C'est normal, elles font du pornos !
Ne dites pas n'importe.
Ah non c'est vrai, ça tourne en boucle sur internet..

Chapitre III – Les Hutt, une entreprise familiale


 A port Nullepart, Jäger était assis sur un canapé, il attendait impatiemment son messager, Bich, il arriva enfin...Bien plus tard que prévu..

     -    Te voilà enfin, tu sais très bien que le temps c'est de l'argent.
     -    Mes plus plates excuses patron, mais vous devriez voir ça..
    -     J'attend l'appel de Beurose après on y va, il doit confirmé le message que tu lui as envoyé pour          la mission envers l'autre pigeon.
Hé bien justement..
Quoi ?
Patron, je l'ai retrouvé, mort.
Hé bien...On délègue ça à Arosa puis on enqu...
Impossible.
Comment ça ?
Il est mort aussi, de la même manière.
Maignan alors ?
Tué à son tour.
Ils étaient sur Nar Shaddaa, qui oserai attaqué des contrebandiers là bas ?
Hé bien..
Non..Ne me dit rien, s'il te plaît...Laisse moi seul j'ai...Besoin de réfléchir..

D'un signe de tête, Bich quitta la zone, laissant Jäger seul, il se leva, d'un pas rapide, il se dirigea vers une chambre, là bas, il verrouilla la porte. Son coeur battait rapidement, il s'agenouilla, sortit son inhalateur et enfin...Il prit une grande bouffée d'air pulvérisée, reprenant lentement son souffle il alluma son holo. Laissant afficher un Hutt.

     -    Huba le Hutt, un honneur de vous avoir au bout de la ligne, écoutez, j'ai perdu contrebandiers chez    vous, sur Ns.
OUKISIJDJ....* Bla Bla Bla *
Comment ça ? Pas vos affaires, ont fais un marché depuis longtemps, depuis une vingtaine d'années, vous m'aviez donné vôtre parole que le cartel protègerais mes intérêts tant qu'il est dans les vôtre.
OHJJIK...
Non, je vous ai payés Huba, je peux vous l'assurez, j'ai même mis un bonus, en tant qu'ami.
HOHOHJHJ...
Comment ça vous ne l'avez jamais reçu ? J'ai tout envoyé, comme convenu...Et là je perd trois contrebandiers comprenez que..
JPOKK..
Pourquoi ? Pourquoi avoir payé ce chasseur pour ça, vous auriez du m'appeler, j'aurai réglé le problème...
Oukiwakator..
Ca veut dire quoi ça ? Agir plutôt que réflechir, c'est totalement stupide ! Et ne me menacez pas de recommencer, car nos accords ne tienne plus à partir de maintenant espèce de limace baveuse et véreuse !
Ah ah ah !!!

L'holo se coupa...

Je ne me laisserai pas faire, saloperie de limace de merde ! Moi aussi j'ai mon réseau enfoiré de fils de pute.

Son petit holo à la main, il fouina dans ses contacts, pour enfin tomber sur le bon...

Oui, bonsoir Consigliere Leonie, je ne vous dérangerez qu'un instant.
Bien, qu'avez-vous à me dire Jäger ?
Hé bien, j'aimerais vous rencontrez, vous êtes toujours dans le quartier rouge ?
Toujours, vous pensez que je vais déplacé mon « entreprise familiale » ?
Bien sûr que non, simplement de quoi m'assurer de vôtre présence.
Bien, autre chose ?
Oui, j'aimerais si possible que vous...Comment dire, joigniez certains de vos meilleurs « nettoyeurs » parmi la réunion, ne vous en faite pas pour l'argent, je vous paierai d'avance en liquide.
Bien, alors je vous attend..
Merci beaucoup. Au revoir.

Chapitre IV – Le peu qu'il nous reste


Minable, minable, minable et méga minable, vous êtes virée !

Felicia tourna les talons, et d'un air blasée prit le chemin de la porte, alors que le rédacteur du journal interpella Jonah le directeur.

Non mais ce serait un scoop, trois contrebandiers tués, imaginez juste une photo du tueur, en première page.
Oui on enverra Michaël.
Vous l'avez viré la semaine dernière...
Ah oui... QUINN !!! Vous êtes dévirée ! Revenez ! * Elle revint * Bien, vous aimez les voyages ?
Hé bien..
Parfait ! Vous allez sur Nar Shaddaa, prendre des photos des scènes de crime !
Oui mais j'ai l'université...
Ne vous enfaite pas on a appelés vôtre professeur, vous allez être libérée !
Libérée ?
Oui, enfin ils disent recalée, mais bon là n'est pas là discussion, le temps c'est de l'argent !
Monsieur, est-ce que je pourrais...Avoir une avance ce mois-ci ?

Il l'a fixa...Un instant puis...Il explosa de rire.

Vous voulez que je vous paye à quoi, à respirer ? Aller dehors !

Elle quitta le bureau sans plus de mots...

Felicia se rendit chez son oncle, celui qui l'avait élevé.. Elle était assise, face à lui, alors qu'il lui servait un thé..

Alors comme ça, tes études ce passe bien ?
Oui, en effet, tellement bien qu'ils m'offrent un voyage scolaire sur Nar Shaddaa, une récompense pour étudier les...
Ne te fatigue pas, je sais...
Tu sais ?
Bien sûr, tu sais...J'aurai tellement aimé te voir réussir, ta tante, quand elle était encore de ce monde croyais en toi.
Je sais que je vous ai déçu, mais je...
Pas de promesse, je t'en prie, pas de promesse, tu deviens n'importe qui, tu arrives en retard en cours...Quand tu y arrives, tu croûle sous les factures, tu vas être recalé et ce charlatant te paye une misère, je te pensais au dessus de ça..
Voilà..C'est toujours ainsi...Je fais de mon mieux, j'ai des responsabilités..Je me donne au maximum, mais on me donne aucune chance, aucun soulagement..
Ecoute, tu as le pouvoir de t'améliorer, un pouvoir implique de grandes responsabilités, n'oublie jamais ça, alors fais de ton mieux...
Tu vois c'est ça, que je te reproche, tu me parles...*émue * Comme si tu étais mon père, mais tu ne l'es pas, tu ne le remplaceras.
Je sais que je ne peux pas être ton père...
Alors ne fais pas semblant de l'être. * La conversation coupée, elle soupira, prenant sa veste, s'en allant *

  Il était tard, Felicia marchait dans les rues de Corellia, l'air mélancolique, elle jetait son regard sur des panneaux publicitaires, la tristesse la poignardant au cœur tel un couteau, elle soupira, la larme à l’œil, elle était bien seule dans un monde hostile et vulgaire, elle se dirigea vers l'astroport...

-Un vol, direction Nar Shaddaa..Merci..

Elle prit donc un transport, direction le monde des Hutt..

Chapitre V- Reprise de Service


 La nuit était belle, la table de la salle à manger était bien décoré, une dinde s'y trouvait en plein milieu, Neia était assise à côté d'Asuka, alors que Jun était debout, elle venait de la découper.

 Une fois découpée, elle servit un part à chacune, s'asseyant, joignant ces mains avec les leurs, pour prononcer quelques mots.

J: Cette vie n'est pas difficile, nôtre amour, nôtre pardon et parfois nôtre bonté est mise à l'épreuve, nous avons affrontés de terribles épreuves, en cette soirée de fête, nous nous recueillons, je me recueille pour toi Bully, tu as toujours était un homme fier et droit, qui n'a pas obtenu la chance que tu méritais en ce monde, que les anges te protège, que tu sois bénis..

A: Bénissez ceux qui souffre, bénissez ceux qui n'ont plus rien à fêter, bénissez nous, pauvres pêcheurs.

N: J'aimerais tournée mes pensées vers celui qui m'a fait sortir de l'esclavage, Ovidius fut un savant fou horrible, il m'a cependant offert une seconde chance dans cette qui n'attendait que de me détruire...

J: Mangeons, et profitons de ce nouveau commencement...

Alors qu'elles venaient de commencer à dégustées leurs repas, l'holo de Jun vibra, elle y jeta un oeil.

J: Veuillez m'excuser.. * Elle se leva et prit l'appel *

Qui a t-il consiglière ?
Jun, j'ai un nettoyage pour vous.
Vous savez très bien que l'entreprise de nettoyage pour moi..C'est terminé.
Jäger a perdu trois contrebandiers, il y en aura plus dans le futur.
Comment ça ? Cela ne veut pas dire que j'ai accepté.. Mais..
Vous avez intérieurement déjà accepté, s'il vous plaît, je n'ai pas de temps à perdre, acceptez-vous de reprendre le nettoyage, oui ou non ?
* Après un moment d'hésitation, elle soupira * Oui, je l'accepte consiglière.
Bien, vous me rejoindrez à la famille.
Bien reçu..

Elle coupa la communication, le regard lourd, songeuse, elle n'avait guère remarqué la présence d'Asuka dans son dos, elle se tourna..

    -Je sais ce que tu vas dire, et tu as raison, je ne devrais pas faire ça..
     -Mais tu vas le faire Jun.
Oui...
Un nouveau commencement, tu te rappelle ? Tout cela devait mené à un renouveau, mais si les esprits de ton passé reviennent, il n'y en aura guère.
Je le sais, et c'est pour ça que j'accepte.
Alors laisse moi venir avec toi..
Asuka.. * Neia s'approcha et lui coupa la parole *
Non, laisse nous venir avec toi, bien que cela ne soit pas une question.
Deux heures avaient déjà passaient depuis la discussion... Jun était assise sur une caisse, dans une salle qui n'était autorisée qu'à elle, dans la peine ombre, il faisait plutôt froid, mais elle n'en avait guère intérêt, elle avait le regard tourné vers le passé, celui accroché au mur, un fusil mitrailleur..

Cette arme était un symbole, un symbole de mort et de destruction, la partie d'elle qu'elle avait voulue oubliée, celle qui était au placard, celle qui l'a séparée tant des origines de sa famille. Elle se leva, s'approcha lentement de l'arme, comme si celle-ci pouvait d'un moment où un autre explosée, d'un pas si peu assuré que ces jambes tremblaient, sa main gauche s'approcha, prête à touchée l'arme, de la sueur sur le front, de la crainte dans ces yeux, la raideur dans ses jambes et de l'amertume dans l'esprit et enfin...Elle s'écarta de son arme, quittant la pièce, s'en allant reprendre son souffle à l'extérieur...

Chapitre VI – Reconquête


Bordure extérieur..Almania, planète abritant une académie Jedi...

La flotte Wampa XXII se trouvait en orbite, sept croiseurs, une vingtaine de corvettes Hammeread, ainsi que des chasseurs stellaires redoutables...

 Une impressionnante flotte impériale sortie de l'hyperespace, de suite, une foulée de chasseurs se déversa vers les bâtiments de la république...Entamant un combat violent, d'une brutalité exemplaire.

Dans le Hangar du croiseur « L'aube éternel » Alsien était avec son équipement de combat basique, une armure de trooper, sombre, il regardait les pilotes montés dans leurs chasseurs pour enfin s'envoler vers le front, bizarrement, lui qui n'avait jamais était partisans de la guerre les auraient bien rejoins, dommage qu'il n'avait jamais appris à piloter ce genre d'engins.

Les minutes s'écoulaient, il attendait toujours, avec son unité, enfin, les alarmes se misent à retentir, dans son casque il entendit les consignes «  Rendez-vous au pont 4, couloir nord, nous sommes abordés ! », il saisit son fusil blaster et se mit à courir pour suivre ses camarades.

Une fois arrivé sur place, il se baissa derrière une barricade d'urgence, alors qu'au mur, une entaille se dessinée, celle-ci laisserait passée de nombreux ennemis dans quelques instant, le nouveau chef de section qui se trouvait en avant se tourna vers eux.

Ils sont chez nous, ils ne passerons pas ! Pas de quartiers ! Pas de pitié !!

Le mur céda enfin, une poussière se forma, masquant toute visibilité de l'autre côté, des rayons bleutés en surgirent, un soldat surpris fut touché, il tomba sur le sol, un équipier à côté de lui s'écria « Médecin ! Il me faut un médecin ! », Alsien lui visa la zone enfumée et fit feu, à trois, quatre reprises, sans savoir si un adversaire avait était touché.

Des soldats de la république sortirent du trou, alors que Alsien s'apprêtait à faire feu à nouveau, un tir vint le touché en plein dans le casque, il chuta, son casque l'empêcha de mourir, mais pas d'être sonné, il s'écroula sur le dos, totalement K-O, à l'instant du réveil de sa micro sieste, il vit une femme, sith au sang pur, cheveux longs, sabre laser rouge en main se précipitée vers la bataille, il tourna la tête à gauche cette fois-ci, des cadavres jonchaient le sol, ces camarades étaient tombés au combat..

Il sentit une brûlure, il regarda, il avait l'épaule gauche perforée, elle aussi avait encaissée un tir, son bras était endormis, malheurs, alors que la sith était seule face aux soldats qui affluaient, quand il leva la tête, il vu la sith trancher la tête d'un soldat ennemi, puis le bras d'un autre, avant d'enfoncer sa lame dans la poitrine d'un troisième, aussi forte soit elle, elle semblait en difficulté..

Il tourna à nouveau la tête, remarquant que son camarade mort à sa gauche avait tenté d'activé un détonateur thermique, parfait, ça passe ou ça casse, de toute manière pire que la mort, il ne trouverait pas, il utilisa son bras droit, seul encore valide, saisit le détonateur « resquem di patche bande de fils de pute », il se leva, du moins prit ses appuis un mini-instant après avoir activé le détonateur et avec le peu de force qu'il lui restait il le lança en direction des ennemis, l'explosif fini sa route en roulant aux pieds des ennemis, mais l'explosion fut parfait, réduisant à néant l'assaut des derniers ennemis restant.

Cette sith au sang pur finie de crucifier un dernier ennemi, enfin, après un instant, elle éteignit son sabre, jetant son regard sur Alsien, celui-ci avait retiré son casque, la partait brisé et brûlé lui faisait enduré une douleur insoutenable... Elle le regarda, s’avança lentement, lui, il respirait avec peine, il l'a regardait comme si il venait de voir un ange, sans un mot, elle lui tendit la main, c'est presque avec émotion qu'il l'a saisie, elle l'aida à se relever, passant sa mains sous son épaule, elle l'emmena avec elle..

Tu t'es bien battu soldat.
Merci Excellence..Je vous...Remercie.. Pour mes frères...
Ils sont des héros..Et seront honorés comme tel.
Je préférerais qu'ils vivent normalement, plutôt que mort en héros, mais ils sont la fierté impériale, ils ont protégeaient la souveraineté de nôtre peuple, à jamais je leurs serait reconnaissant.
Je t'emmène à l'infirmerie, comment t'appels-tu ?
Matricule..
Pas ton matricule, ton nom.
Alsien, Alsien excellence.
Moi, c'est Zelinaë...


Alsien vécu la suite de la bataille d'un lit d'infirmerie, il avait appris que la bataille c'était bien passée, malgré les difficultés, les forces de la république avaient fuis, laissant la planète aux mains impériales, la victoire était totale, mais de nombreux morts étaient à pleurés...

Chapitre VII –  Troubles désirs


  Le Seigneur Zelinaë se trouvait dans la salle de guerre de son maître, Darth Vinhilus, elle fatiguait alors que lui se tarissait d'éloge, vantant une grandeur d'esprit et de victoires successives, rappelant bien une vingtaine de fois qu'il a vaincu le fils de Bildrsok, mais aussi qu'il enchainait les victoires pour la reconquête du territoire impérial, sans oublier la destruction de l'usine de Dreckin sur Onlap, comme si cela était venu seulement de lui, comme si tant d'être n'avaient jamais donnés leurs sang, leurs corps et leurs âmes à ce périple barbare qu'est la guerre.


 Darth Vinihilus se presentait tel un mâle dominant, voyant Zelinaë comme une femmelle tentant de charmée cette immense grandeur, comme si sa volonté était d'offrir une érection incontrôlable et dégoulinante à ce grande Seigneur de guerre, il se prenait pour celui qui mettait tout le monde à ces pieds, mais pour Zelinaë, ce type n'était qu'un gros branleur, oh ça oui, un putain de sacré gros branleur, son esprit était tournée vers ce courageux être humain qui avait probablement sauvegardé ça vie, lui, qui se trouvait seul à l'infirmerie, dans l'ombre, alors qu'il méritait d'être couvert de gloire et de respect, alors c'est à ce moment qu'elle coupa Vinhilus dans sa millième ligne de dialogue..

Z: Mes excuses mon maître, la fatigue me gagne, je m'en vais me retirée, me reposait.
V: Déjà ? Mais nous n'avons même pas fêtait ça.
Z: A tête reposée, je serai vaillante, puis je fêterais vôtre succès une fois que vous aurez le titre suprême.
V: Bien va donc, je te retrouverais demain.
Z: Bien. * Elle inclina le buste, se retirant *


 Dans l'infirmerie, Alsien, était statique dans son lit, le regard vers le plafond, la souffrance dans l'âme, il était placé à l'écart, comme tout les héros l'étaient, alors qu'il entendit le bruit de la porte s'ouvrir, il s'attendait à voir une infirmière, mais non, le spectacle était digne du paradis, Zelinaë était là, elle avait retirée tout son atirail vulgaire de combat, laissant qu'une légère robe sur elle, celle-ci, elle l'a laissa tombée le long de ses formes, dévoilant son corps rouge magnifiquement taillé, Alsien conservait son regard sur les seins d'une femme qui à partir de ce moment ne cessait de le faire bandé, elle s'approcha de son lit, retira la couverture, profitant de l'occasion pour retirer le caleçon de son héros, elle se mit alors à quatre pattes sur le lit, prenant le pénis de son champion, commençant à le sucer, tout en fixant l'homme qu'elle souhaitait félicitée comme il le méritait, elle conservait son agilement son membre dans la bouche alors qu'elle essayée à chaque fois de se la mettre le plus profondément possible dans la gorge.

Alors qu'un peu de bave coulait, Alsien, ne retenait pas ces petits gémissements, alors que Zelinaë remontait le long du lit pour venir déposait ses lèvres sur celle de son amour d'au moins un soir, Alsien, à l'aide de deux doigts caressait son intimité, la faisant poussait des gémissements d'une féminité qu'elle avait oubliée, mais cela n'était pas déplaisant de retrouver une partie d'elle qu'elle avait laissée au placard.

Cette fois, il l'a fit basculée sur le dos, malgré ça blessure l'excitation était trop intense, il se baissa, langue étirée sur le corps de la sith, descendant jusqu'au nombril, puis à l'intimité, il prit appuis avec ses bras aux cuisses de Zelinaë, la soulevant légèrement par celle-ci, pénétrant sa langue à l'intérieure de son intimité, il remuait sa langue tel un chien offrant des papouilles à sa maîtresse.

Une fois terminé, il l'a laissa retombé, elle le fit basculer à son tour, reprenant le dessus, alors qu'elle vint se placée prête à être introduite, l'aidant avec sa main. Il avait ses mains qui empoignaient les fesses de la sith, alors qu'il l'a pénétrait, il envoya des coups de bassins, remuant sa queue au fin fond de la caverne au trésor de sa conquête, elle y mettait de l'entrain elle aussi, alors que l'orgasme était inévitable, et bah les couilles que tout ces connards qui avaient passés la nuit à l'infirmerie pour avoir certificat médical pour éviter le front diraient, elle avait elle aussi envie de ce faire baiser, par un héros, un vrai, pas un connard qui avait le cul bien au chaud dans un fauteuil trop grand pour les deux meules de son cul de branle couille tel Vinhilus.

La soirée passait, et Zelinaë avait bien crevée le soldat qui avait fini d'être au garde à vous, qui avait déjà éjaculé en elle, mais pour le plaisir d'être au fond du fun les deux continuaient à grappillés la moindre micro-seconde, après ces instants, la femme en sueur ce coucha devant son héros qui puait la virilité, tel un missionnaire qui avait prêché à sa paroisse païenne tel un putain de bon soldat religieux.

 Elle s'endormit sous l'effet de la fatigue, de l'effort et du bien être, alors que Alsien remontait la couverture, il n'en revenait pas d'avoir baisé une déesse.


Chapitre VIII -  Mon coeur est immortel


 Dans les bas-fonds du quartier rouge de Nar Shaddaa, dans le sous sol d'un bar-tabac, des combats de free fight étaient organisés, et aujourd'hui le consigliere avait un nouveau candidat à proposer à son rival, le Baron Frrek

F: Tiens, vous voilà Consiglière, je me demandais à quel moment vous allez m'offrir un nouveau spectacle des plus humoristiques, vu la tronche de vôtre dernier candidat...Quatre secondes, il était vraiment précoce, ça m'étonne qu'un autre de chez vous aille dans l'octogone, la cage du respect que vous avez perdu. * dans la tribune vip d'autre chef de gang se mirent à rire *
C:  Parlez tant que vous voulez Baron, ce soir, vôtre champion, je le défis, dans un combat à mort.

Ce message avait était entendu par toute la foule, l'annonceur ce précipita vers lui, micro tendu il déclara "avons nous bien entendu, il défi le champion dans un combat à mort ?"

C: Non vous ne rêvez pas, j'ai amené un champion, un vrai, une bête, il va tuer le détritus qui sert de champion au gang du Baron Frrek !

Ann: Oh là là ! Baron ?!

B: Oh et bien mon champion à conservé son titre depuis deux ans, avec ses deux molosses à ces côtés, je veux bien tenté le pari.
C: Parfait !
B: Ah une condition.  * La foule émit un bruit de stupeur alors que le Consiglière était toujours droit est sérieux dans ses bottes * Si ton candidat bat mon champion, tu le met à mort et tu gagne le titre, si c'est mon champion qui gagne, ta mafia et tout le reste m'appartienne et t'as carrière est terminée.
C: Tu as gagné, si ton champion gagne, tu auras tout ça. * Il tendit sa main, l'air toujours confiant, son adversaire, le Baron surpris, lui serra la main moins convaincu *


Le champion, le redoutable Grognak et ses deux molosses (deux chiens enragés) entrèrent et se dirigèrent vers l'octogone. Acclamé par une foule conquise.

Sans un bruit, le challenger entra, plutôt maigre, bras droit entièrement cybernétique, masque respiratoire sur la bouche et le nez, l'air boitillant, en short de combat, sans armes ni partenaires, il entra sous l'étonnement de la foule, accompagné par quelques hués, l'annonciateur vint se faire murmuré le nom du challenger. Il se placa au centre du ring.

Je ne vous le présente plus, avec 56 victoires, 42 par morts, 9 par K-O et 5 par suicides, le champion indiscuté du monde GGGGGGRRRRRRRRRRROOOOOOOGNNNNNNNNNAKKKKKK l'Exterminateur !!!!!

      Et enfin, le challenger, mesurant 1 mètres 84, pesant 86 Kg, Edward BRRROOOOOOOCKKKK !!! Vocage !!

 L'annonceur quitta l'octogone, alors qu'un toit de chaînes vint descendre sur le toit de la cage, Grognak était aclamé, il levait les bras vers le ciel, alors que Edward était fixe, un regard vide de toute émotion, une machine en somme.

Ann : Je vous rappel les règles, pas d'abandon, pas de K-O, pas de décision des jurys...Le seul moyen de mettre fin au combat est la mort de son adversaire, combattants, faites vous face.

Les deux molosses qui accompagnaient Grognak était à quelques centimètres d'Edward, son masque respiratoire touchait presque le visage de Grognak, la cloche retentit.

Hé toi la machine, il te reste trois minutes avant d'être bouffé par mes clébards, pendant trois minutes tu es ma marionnette ah ah !!

Grognak se jeta vers Edward un coup de poing dans le respirateur, un autre, puis un autre, faisant à peine reculé son adversaire, celui-ci tourna la tête, faisant face à Grognak, des yeux rouges de haine, les veines à vif sur son visage, un coup de poing de sa main cybernétique envoya le champion de l'autre côté du ring, excitant la foule pour l'occasion.

Les deux molosses vinrent mordre la cheville gauche du cyborg, il en saisit un l'envoyant au loin, alors que l'autre lui sauta à la gorge, il se fit attrapé, une main au palé, l'autre à la mâchoire de la gueule du chien, puis il étira, brisant la mâchoire du molosse, avant de pressé sur le crâne avec sa main cybernétique, il transforma son crâne en compote, le tuant, avant de le jeter au loin.

L'effroi d'un instant, Grognak qui avait le nez brisait fixait terrorisait son adversaire qui contracté les muscles laissant ressortir des veines à vif et un hurlement monstrueux, terrible alors que le molosse survivant prit peur, Grognak se jeta désespéré sur son adversaire qui le saisit, le faisait valdinguait avec une german suplex d'avant en arrière, avant de le soulever, l'écraser à nouveau sur le sol. Le publique passionné lui était divertit, ils jetaient des objet, c'est une batte qui tomba sur le ring, Grognak ne bougeait plus, Edward saisit la batte, à deux mains, il la leva au dessus de sa tête, l'écrasa violemment sur son crâne, une fois, puis une autre et encore une autre, transformant la tête de son adversaire en bouillis, laissant le cerveau éclaté sur le ring, alors que le toit de la cage remontait et que la porte s'ouvrit, offrant un nouveau champion.

Le Consiglière se tourna vers le Baron.

B: Mais il a triché ! Vous avez triché !
C: Non, j'ai joué pour gagné, vous pour vous vantez.
B: Ça ne ce passera pas comme ça croyez moi !
C: Oh et bien je n'en doute pas..

Le Baron fut saisie par la nuque, une main froide et cybernétique, il fut projetait sur le ring, au sol, il imploré pitié, alors que son bourreau saisit à nouveau la batte à deux mains, il vint à nouveau l'écrasé sur son crâne d'une violence inouïe, lui faisant littéralement explosé la boite craniène.

Le Consiglière vint sur le ring, fêtait son vainqueur.

C: Bien publique, voici ce que réserve nôtre famille à ces ennemis, ceux qui ont des dettes, réglés là rapidement, sinon knock * imitant un coup de batte * Trouvez vous un nouveau champion.

Le consiglière quitta la salle, escortait par son champion.

Chapitre IX – Un travail de reporter


Nar Shaddaa, appartement d'une victime...

Si vous ne le savez pas, je m'appelle Felicia Quinn, je suis reporter, cela veut dire que j'enquête et que je suis des gens qui n'aiment pas être suivis, des gens influents et dangereux, à l'origine je viens pour ma tache primaire, la photographie, mais être pigiste ne rapporte qu'une maigre poignée de crédits, si je veux m'en sortir dans son monde brutal, je dois me montrée opportuniste et prendre des risques, même si cela met ma vie en jeu, vous l'avez vu, je n'ai pas le choix, je suis au pied du mur..

Elle appuya avec son pouce sur le bouton du dictaphone, le coupant, mettant fin à l'enregistrement, alors qu'elle retirait le cache de son appareil photo, une légère trace de sang au mur, mais la lumière est coupée, comment faire, ah oui, la lampe torche, une catastrophe comme cliché, mais il n'y a pas mieux, et pour ce salaire, la photo parfaite serait un cadeau à une personne qui n'en a pas fait à Felicia.

 Un cliché par-ci, un cliché par là, elle sursauta quand elle sentie une main ce posée sur son épaule.

     -    Qu'est-ce que vous faites là ?! Qui êtes vous ?! * S'écria un agent du cartel *
Je m'appelle Felicia Quinn, je viens faire des photos, pour le journal "Dette Corellienne".
Il est strictement interdit d'être ici, veuillez me suivre sans poser de question.
Bien, je vous suis..

Il se tourna, elle vint posée sa main au niveau de la nuque de l'agent, une décharge électrique vint le faire chuter. Elle se baissa, regardant dans son cou, oui, un tatouage, un signe d'appartenance, ce n'était décidémment pas un agent du cartel. Elle sortie à nouveau son enregistreur, l'activa (là c'est le moment où tu vas mettre Clutch- The Regulator) .

Ah et bien oui, je crois bien que vous n'avez pas bien appris à me connaître, j'ai mais petits secrets, photographe, un petit passe temps, un gagne pain honnête, contrebandière, une passion.

Elle sortie la lettre reçue à son appartement quelques jours plus tôt, ce fameux avis de saisie, elle l'ouvrit, retirant l'autocollant, dépliant la lettre, celle-ci venait de Jäger, elle se mit à la lire.

Quinn, j'ai une mission pour toi, Hubba le Hutt fais descendre nos contrebandiers, ce serait bien que tu découvres qui est ce tueur, tu sais, histoire que je sâche qui travail avec ce Hutt puis qu'on lui fasse la misère.

D'un soupire, "Hé bien, ce tueur est vraiment bon. Et si j'allais faire mon investigation chez nôtre ami le Consiglière Leoni". Elle tourna les talons, s'en allant pour son prochaine objectif.

Chapitre X – Réunion au sommet

 Les Yaë étaient arrivées dans le salon de la famille Leoni, Jun connaissait par coeur cet endroit, des canapés rouges vifs, une fine odeur de bâton de cendres, du bon vin exposé, des hommes en costume et chapeau melon, des femmes en robe noir, elle se rappelait que la première qu'elle avait vue Lexia, celle-ci était dans un magazine, elle posée assise sur un piano, bâton de cendre entre l'index et le majeur, son regard de femme fatale qu'elle connaissait si bien, ça magnifique chevelure rousse étirée, cette photo était un symbole selon le consiglière, chacun voulait rencontré des femmes de ce genre, surtout dans le quartier rouge, il n'y avait pas deux établissements qui présentaient une telle classe, ce souvenir Jun s'en rappella comme si c'était hier, elle était légèrement attristée de savoir que la douce Lexia était dans un sommeil profond et qu'elle luttait tout les jours pour se réveillée et reprendre le cours de sa vie.. Elle fut interrompue dans ses pensées à l'arrivée du consiglière.

C: Jun ! Mais quel bonheur de vous revoir !
J: Consiglière. Vous m'avez appelée, me voilà.
C: Bien entendu, et ces deux charmantes personnes doivent être vos deux soeurs.
J: En effet, je vous présente Asuka et Neia.
C: Enchanté, ne trainons pas, nous avons le seul et unique Jäger parmi nous.

Jäger s'approcha, inclina le buste, alors qu'il regardait autour de lui, des tables de Poker, des types avec des pantalons à bretelle, chemises et cigares en bouche. Leoni prit la parole.

Mon oncle Mario a tout fait pour redonner ça saveur passée à cet établissement. * Jäger lui répondit *
Un endroit fascinant, croyez-moi, je sais reconnaître les belles choses lorsque je l'en vois.
Il paraît que c'est une pratique courante dans la contrebande.
En effet, il faut savoir flairait les bonnes affaires.
Bien évidemment, business is business, allons, ne perdons pas de temps, allons dans ma salle de réunion.

Le groupe se dirigea donc dans la petite salle de réunion. Ils se mirent tous assis, Le consiglière en bout de table, alors qu'une femme lui apporta un dossier alors que celui-ci finissé d'allumer un bâton de cendres.

Qu'ai-je pour vous mon cher Jäger.. * regardant le dossier * Donc, Hubba le Hutt a donc confié les contrats à l'ACP pour vos petits copains.
Comment ça ? Sous quel prétexte ?
* il se mit à sourire involontairement * Hé bien drôle retour des choses, pour contrebande, à croire que la contrebande est illégale.
Tellement simple, donc c'est l'ACP qui a buté mes contrebandiers ? Ces mecs n'ont pas du pouvoir faire grand chose, c'était des voyous, des arnaqueurs, mais pas des tueurs, juste des transporteurs, ce ne sont pas des gens qui faisaient du mal aux autres..
Oui et bien, ils sont morts, désolé.
Ce n'est pas de t'as faute.
Pour cela, si.

Plusieurs agents du cartel déboulèrent dans la pièce suite à ces mots. Jun, Asuka, Neia et Jäger ne résistèrent pas, alors qu'ils leurs glissèrent les menottes aux poignets.
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La Grande Aventure du Jour de Vie Empty Re: La Grande Aventure du Jour de Vie

Message par Bild Jeu 25 Oct - 21:19

Chapitre XI – Un amour interdit


Le croiseur de Vinhilus se trouvait en orbite de Kashyyk, la planète des Wookies, aujourd'hui, Jour de Vie, fête ancestrale Wookie reconnue dans toute la galaxie, c'est le moment parfait pour mener l'assaut sur un de leurs bastions, selon le maître de Guerre, ce serait pour rappeller la supériorité impériale à une race inférieure.

Alsien avait reçu son équipement à l'infirmerie, il avait fini de s'habillé depuis un moment, il se dirigeait vers le Hangar, là bas, un transport de troupes ainsi que son unité l'attendait, son pas était lent, il ne souhaitait pas y arriver trop vite, la crainte de découvrir de nouvelles unités, ces camarades avec lesquels il avait fais ces classes étaient morts, dans la défense du croiseur, ce qui lui avait valu un bon moment à l'infirmerie.

Alors qu'il se rendait au hangar, il ne put que remarquer la présence particulère de cette Seigneur sith, Zelinaë, apprentie de Darth Vinhilus, elle était dos à lui, elle ne lui avait pas adressé la parole depuis, avait-il était décevant ? Ou pire, regrettait-elle ce moment ? Avait-il fait une erreur ? Il se dirigea vers elle, prenant son courage à deux mains, elle se tourna vers lui immédiatement.

Soldat à vôtre poste !
Zeli...Seig..
A vôtre poste de combat !!
Bien..Seigneur..

Il fut coupé de court, alors il tourna les talons, direction le hangar, faisant face à ces tout nouveaux visages, des jeunes recrues, mettant leurs casques, entrant dans les embarcations, la surprise fut totale quand il aperçu des trandoshans, aussi nombreux que les impériaux, leurs peau rocailleuse, leurs dents pointues, leurs regards vif et leurs taille...Immensément imposante, ils prenaient bien toute la place dans l'embarcation, mais personne ne ce plaignait pour autant...

Com...Je...Enfin tu vois, je pensais qu'elle m'aimait, qu'il y avait quelque chose.. * Le regard perdu dans le vide, il releva les yeux vers son interlocuteur...Un Trandoshan...Qui ne comprenait rien * Et oui le crocodile, les femmes, un complexe...

Alsien mit son casque, respirant sous celui-ci, alors que le chef de section émettait un nouveau sermont digne d'une église, la plage en face semblait si paisible, jusqu'au moment où les digues laissèrent des centaines de Wookies se relevaient pour les canardés... Déjà, les premiers morts, alors que le crâne du soldat devant Alsien partit en poussière, laissant juste l'horrible cervelle s'éparpillée sur les vêtements des guerriers proches de lui..

Dans les airs les chasseurs pêchaient à réussir leurs actions, les embarcations aériennes Wookies étaient tellements lentes que les chasseurs ne pouvaient pas les prendre en chasse, des hauts troncs d'arbre, les tireurs se faisaient une joie d'abattre les soldats bloqués dans les bateaux, enfin..Alsien reçu l'ordre.

Sortez tous, à la flotte !!

Il ne prit pas plus de temps pour basculer dans l'eau, le poids ! Non le poids de son équipement ! Il s'en rendait enfin compte, son armure était trop lourde, elle l'attirée vers le fond...Il retira son casque, son plastron...Mais c'était si tard, ses forces l'abandonnèrent...Ces yeux se fermèrent à leurs tours..

A son réveil, il était traîné sur la plage, par deux de ses camarades, il tourna la tête à gauche, des arbres en feux, un champ de cendres, un paysage nauséabond, il ressentait le sang dans sa bouche, la mélancolie de l'abandon d'un amour qu'il pensait conquis.

Non laissez moi ! Laissez moi mourir ! Je ne veux pas vivre ! Non !!

Il gesticulait, tremblotant comme une feuille sous le froid de l'eau qui trempait ses vêtements, sous le stresse des tirs et du champ de bataille, sous la peur de l'abandon. Ces paroles raisonnaient comme vides, alors que ces larmes ne pouvaient coulés sur sa peau gelée..

POURQUOI ?!! Pourquoi ?!!

Ces camarades avaient enfin finis de le traîner jusqu'à un trou de combat, ils s'étaient mis assis, dans un silence éloquent, ils avaient froids, peurs, ils n'étaient même pas conscient qu'à quelques centimètres d'eux, un homme hurlait son désespoir.

Un des deux s'exprima.

Tiens, des sith..

De son regard vers le ciel, allongé sur le dos, il se releva, cherchant Zelinaë de ses yeux, face à lui, il y avait bien des sith, sans leurs masques, mais pas Zelinaë, il les fixaient, tout comme ses deux camarades, les sith passèrent, le regard de dédain et de confrontation retrouvé, tel les années avant Zakel, où les sith et l'armée étaient une bande rivale, ils ne s'appréciaient pas, et aujourd'hui, plus que tout autre jours.

Chapitre 12 - La cours martiale


Alsien était resté là des jours, trois jours, avec ses camarades, attendant la relève, dans le froid glacial de l'hiver.

Un des deux soldats lui tendit un bout de chocolat, Alsien l'accepta, face à lui, une grand silhouette ce stoppa.

Alsien Degard ?
C'est moi..
Veuillez me suivre..Vous rentrez..
D'accord..Et eux ?
Vous ne comprenez pas, vous rentrez, pour le tribunal de guerre.
Je ne comprend pas..
La cours martiale.
D'accord.. * acquièscant de plusieurs signes de têtes perdus dans le vague *

Il fut saisie par la manche, emmené par l'officier de Police Militaire Impérial...

Les heures passèrent...Il était recroquevillé, il avait peur, il avait faim..Il avait froid, dans le transport qui l'emmenait non pas sur le croiseur, mais sur une destination inconnue, une dernière destination comme il y avait expliqué sur la charte militaire, celle qui prévoyait tout acte contre-productif à l'effort de guerre impérial..


Par la verrière de la passerelle du croiseur, le Seigneur Zelinaë regardait les navettes passaient, Darth Vinhilus lui, il regardait sur le poste de commandement, sans détourné son regard, il prononca enfin quelques mots.

La mort dans l'arène.
Excellence ?
Je disais, c'est dans l'arène que mourra ton humain.
Mon humain ? Que voulez-vous dire ?
Tu le sais très bien apprentie, je t'ai vu, aux caméras, tes galipettes.
Une distraction, seulement pour le plaisir.
Vraiment ? * s'approchant d'elle * Alors ça mort ne te paisera pas sur la conscience j'imagine.
* Elle resta silencieuse *
C'est bien ce que je pensais, pauvre petit humain, la mort à cause de l'amour, drôle de chatiment.
Pourquoi faire ça excellence ?
Pourquoi ? Hé bien tu sembles plutôt concernée d'un coup, cette "distraction" serait-elle lié à de l'amour ?
Je ne sais pas quoi vous dire excellence...Je suis navrée..
Il n'y a rien de plus à dire, tu le sais, le champion du Quartier Rouge lui offrira son funeste sort.

Darth Vinhilus la détailla légèrement, il l'a savait abattue, alors qu'elle n'y laissait rien paraître, alors de ce pas, il quitta la passerelle, satisfait.

Dans le transport, Alsien avait le regard vague, il était accompagné de prisonniers, de Wookies, il s'assit sur une caisse, un type s'approcha de lui.

Hé mec, où nous emmènes t-il ?
Je ne sais pas..
Comment ça ? Tu sais pas, genre tu veux dire vraiment pas ?
Si je le saurai, ce serait bien différent..


Un wookie émit un bruit. Alsien lui répondit.

Oui, moi aussi ça me fait chier.
Awoojjnj
Cool, moi c'est Alsien, ravi de te rencontrer.
GRRRRAAAAAA !!!
Pas sûr, vraiment pas sûr, attends...Nar Shaddaa ? Comment ça Nar Shaddaa ? Pourquoi ?
AWHAHHW..
Car ils ont besoins de candidats, c'est bon je vois le truc, on est tous mort...
GRRRAAAA !!!
Oh et bien super...Vas y après toi, vas leurs péter la gueule, je te regarde..
Awowowo...
Couille molle...


Le transporteur ce stoppa enfin...La porte s'ouvrit, des gardes...En tenue...A bretelle, chapeaux melon et mitraillette les escortèrent jusqu'aux geoles.. Alsien fut enfermé dans ça cellule avec le wookie.

Vous n'avez pas le droit bande de salops !!

Il se tourna.

Mais vous êtes qui vous putain ?

Chapitre XIII – Fouineuse


Le Consiglière Léoni se trouvait dans ça salle de séjour, lors d'une soirée comme une autre.

Apportez moi à nouveau le dossier s'il vous plaît.

La jeune femme lui apporta à nouveau ce fameux dossier, il l'a regarda.

Vous êtes nouvelle ici ?
Oui consiglière.
Qui vous as recruté ?
Mario..
Ah oui Mario, ce bon gros Mario..
Bien, vous pouvez vous en aller.
Bien..
Non attendez, aller chercher Stéoni, vous irez avec lui.
Bien..

Elle quitta la pièce, d'un pas léger.

Elle se dirigea donc trouver Stéoni, il était dans la grande salle, il discutait sur la banquette avec d'autres convives.

Monsieur Stéoni.
Plaît-il ?
Le Consiglière Léoni m'a demandée de vous suivre.
Ah, hé bien. * il montra son verre à ces convives pour les saluer * Messieurs le devoir m'appel.


Il se leva et partit d'un pas rapide, obligeant la jeune femme à accélérer le pas, il sortit, monta dans son speeder, et démarra, elle s'était assise sur le siège passager.

Tu es nouvelle ici ?
Oui en effet.
Qui t'as recrutée ?
J'ai des connaissances, le Consiglière m'a tendu la main.
Bien, moi c'est Mario, Mario Stéoni.
Bien, où allons nous ?
Travailler, on y est.

Il stoppa le speeder devant un commerce.

Viens avec moi Senorita, regarde et apprend.

Les deux entrèrent dans le petit commerce, le gérant leva les bras pour les salués, surtout Mario !

Monsieur Stéoni !! Quel plaisir de vous voir ici ce soir !!
Salut Frederico, tu sais pourquoi je suis là, ne me fais pas attendre.
Bien sûr oui, tenez un bon vin, promis, un de mes meilleurs crû.
J'espère que le fric que tu nous dois aussi est un de tes meilleurs cru.
En parlant de...Fric, monsieur Stéo..
Attend Frederico, j'ai cru que tu aller me dire que tu n'avais pas le fric que tu nous as emprunté il y a genre, trois mois, et tu sais que je n'aime pas me mettre en colère.
Oui, oui, oui bien sûr, écoutez, je n'ai pas l'entièreté ce soir...Mais promis, dans une semaine j'aurai le double !
Oh...Frederico...Non...Non...Pourquoi tu me déçois, tu sais que si je ne te démonte pas la gueule, c'est mon boss qui ne sera pas content, qu'est-ce que je vais lui dire moi, quand je vais rentrer, nôtre Frico n'a pas le Frico, tu comprends, c'est pas bon...Point de vue de business..
J'ai une boutique à faire tourner..
Mais mon boss aussi...Comment veux tu que ça marche ?
Je...Je ne sais pas...
Et voilà le problème, tu sais comment ça finirez Frico..
Non, je vous jure, je vous rembourserez !

Mario sortit son blaster, qu'il pointa vers lui, alors que le commerçant supplié, d'un geste las, il appuya sur la détente, tuant le commerçant sur le champ. Il déposa son blaster sur la table, sortit un bâton de cendres, allongea ses jambes sur la table tout en fumant.

Que c'est crevant comme boulot.. Tu as vu ça petite, dans le boulot, c'est comme ça qu'on gère.
Je vois oui. * Il appuya sur son bracelet qu'elle avait au poignet gauche *
Bon on bouge, il est temps de voir le clou du spectacle.

Il se leva, rejetant le bâton de cendres sur le corps du mac abbé avant de sortir, accompagné de la jeune femme, direction le speeder, et une zone industrielle abandonnée..

Il déposa le speeder derrière un bâtiment industrielle, la jeune femme lui demanda.

Que faisons nous ici ?
Le clou du spectacle.

Il se dirigea vers l'arrière, ouvrit le coffre, pour en sortir un homme, il avait un sac sur la tête, il lui retira, le poussa dans le dos pour qu'il fasse face au mur. La jeune femme y reconnu Jäger.

Voilà ton boss.
Pardon ?
Tu croyais que l'on ne t'avais pas reconnue Felicia Quinn ?
Mince..
Hé oui, bon, d'abord, je bute ton patron et après on verra ce qu'on fait de toi, la noyade est une mort vraiment pas drôle tu sais.

Il sortit son blaster de son holster, le pointant vers Jäger, une voix dissimulée le coupa dans son élan.

Je ne ferai pas ça à vôtre place.
Qu'est-ce...Qui c'est encore ?
Vous savez qui je suis.
Le chasseur ? De Hubba le Hutt..
Rectification, je suis bien le chasseur, l'ACP m'a donné un contrat, pour cet homme, remettez le moi, immédiatement.
Vous croyez que je vais vous le remettre comme ça ? Mon boss m'a donné des instructions.
Bien, soit.

Le chasseur tira dans le crâne à Mario, le tuant sur le coup, son visage masqué toutes ces émotions et quelconque culpabilité, il tourna la tête vers Felicia.

Très bien joué cette couverture, une prise de risque osée, pour un homme mort, tu sais te salir les doigts.
Tu sais, dans la vie comme dans le métier de reporter ou de contrebandière il faut savoir ce salir les doigts...C'est pour ça que l'on ne donnera jamais un oscar..à un film de boules.

Jäger tourna la tête vers Felicia. Celle-ci regarda le chasseur avant de prendre la parole.

Il n'y a pas le moyen de négocier ?
C'est un contrat de l'ACP, pas un contrat de mercenaire, pas de négociations, je te déconseille de te mettre sur ma route, rouquine.
Vous savez que vous aurez le consiglière sur le dos, ainsi qu'une grande partie de la criminalité du quartier rouge ?
Bien évidemment, à ceci prêt qu'un Hutt ça calme rapidement la vermine des bas quartiers, ne vous enfaite pas pour moi, méfiez-vous plutôt de vos ennuis, Felicia.
Alors toujours pas de négociations ? J'ai des trucs intéressants, genre du thé à la menthe.
Du thé à la menthe ?
Ou à l'orange je ne sais plus...Peut être bien aux fraises..
Qu'est-ce que tu tentes de faire ?
Diversion.

Un groupe de loubards arriva sur eux, Felicia se colla dos au mort, ce décoiffant légèrement, dégraffant légèrement son chemisier et prit une voix de demoiselle en détresse.

Au secours..Cet assassin a abattu un homme de nôtre bon Consiglière..S'il vous plaît...
* La voix roque du chasseur laissa paraître un sourire dissimulé sous son masque, probablement * Bien tenté.

Il se tourna, dégaina un second blaster et en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, lâcha plusieurs salves de tirs sur ces adversaires, les quatre loubards tombèrent au sol. Le chasseur se tourna, Jäger et Felicia s'étaient volatilisés.

Bien joué rouquine, bien joué.

Chapitre XIV – Le Chemin de Croix


Alsien essayé de récapituler une nouvelle fois.

Bon, donc...Vous êtiez entrain de fêter le jour de vie, on vous invite à reprendre les armes pour combattre un tueur et paf ! Vous finissez en taule, c'est bien cela ?

Jun lui répondit.

Tout juste.

Avant qu'Asuka rajoute.

Moi je devais préparée des sablés au sucre vanillée avant d'être arrêtée..

Alsien surprit.

Vraiment sympathique comme histoire, et la troisième, elle ne dit rien ? * Désignant Neia *

Asuka lui répondit.

Avec son masque, elle doit se concentrée sur sa respiration, c'est très difficile pour elle de s'exprimer.

Alsien à son tour.

Donc c'est pour ça qu'elle ne dit rien ?

Jun le corrigea.

Ah non, au contraire là tout vas bien, elle est très calme, elle ne veut juste pas vous parler.
Ah...Vraiment cool..

L'électrification de la porte se coupa, laissant trois gardes entraient ainsi qu'un homme...Cyborg pardon, masque respiratoire et batte de baseball à l'épaule, Jun le dévisagea.

Eddie, qu'est-ce qu'ils t'ont fais ? Tu n'étais pas comme ça quand on t'as ramenés.

Edward saisie ses mains, lui serrant des liens, alors que Jun s'écria "Je veux voir le consiglière", un représentant qui se trouvait à l'entrée ne semblait pas de cet avis.

- Il est occupé et il n'a pas de temps à perdre avec vous.
Mais regardez ça, je dois lui parler.
Je regrette, c'est non.
Vous savez..Je ne suis pas sûre que cela vaille pour vous.
Que voulez-vous dire ?
Hé bien, vous connaissez l'intérêt que le consiglière a pour moi, vous savez que je n'y suis pas insensible.
Grrr... Emmenez là voir le consiglière Léoni. * les sourcils froncés, légèrement remonté *

Jun entra dans la salle de réunion, le consiglière était assis.

J: Hé bien, vous savez toujours vivre dans le confort.
C: Une classe qui vous étonne ?
J: En aucun cas, je dois avouer que mon petit bar est "miteux" à côté de vôtre...Enfin..
C: Ne soyez pas si dûre envers vous même Jun. Vôtre vie est remarquable.
J: Et pourtant, vous voudriez me l'hôté sans la moindre pitiée.
C: Vous croyez que c'était pour vous refroidir qu'ils vous sortaient de cellule ? Vous croyez que c'était pour vous mettre à mort Jun ?
J: Hé bien je dois dire que c'était l'idée qui occupée mes pensées.
C: Je suis Consiglière, donc, je suis un haut représentant d'une "entreprise" qui je vous l'accorde est particulière, mais je ne te pas gratuitement, je ne comptais pas vous tuez, ni vous ni vos soeurs.
J: Hé bien...J'ai l'impression de tombée d'un étage en entendant cela, je dois vous dire...Merci, je crois, je n'en suis pas certaine.
C: * Il se mit à rire * Pourquoi ? C'est vôtre présence qui me donne envie de vous remerciez.
J: Alors...Que comptiez-vous faire de..
C: Je comptais envoyer le wookie et le prisonnier dans l'arène, vous et vos soeurs en apprentissage.
J: En apprentissage ?
C: Bien sûr, de nettoyeuses, je devais seulement m'assurer que vous ne feraient rien pour empêcher Jäger de subir son sort.
J: Je pensais que vous êtiez de son côté.
C: Je l'étais, sincèrement, jusqu'au moment où un Hutt menace d'envoyer le cartel contre mon business, vous comprenez que je me dois d'agir en conséquence, Jäger est un bon gars, si il y a quelconque noblesse dans la contrebande, il en est son meilleur représentant. Autre chose ?
J: Oui, Edward.
C: Avant toutes choses, je sais que cela vous contrarie.
J: Je vous l'ai ramener pour le soigner, pas pour ça.
C: Ecoutez Jun, les affaires sont les affaires, vous avez vue l'intervention que ça a du être, le nombre de chirurgiens et de médecins qu'il a fallu, alors j'ai rentabilisé cela, il me sert, j'ai dû certe le drogué légèrement pour cela, mais regardez, il est parfait dans son travail.
J: Ca me contrarie au plus haut point, vous avez raison, ce n'est pas ce que je voulais..

Le consiglière prit son verre, en bu une gorgée, la détaillant du regard pour toute réponse.


Alsien se trouvait désormais dans l'arène, la foule était hostile, son regard était étrange, le regret...Voir Zelinaë une dernière fois, lui dire simplement qu'il était tombé amoureux d'elle et qu'aucun amour est impossible tant qu'il est sincère, peu importe les différences, la couleur, l'origine, la culture, le genre, le sexe, c'était une de ces revendications, il était tombé amoureux d'une sith au sang pure et dans ces instants, il serait prêt à le revendiqué.

Son adversaire se présenta face à lui. L'Annonceur fit son travail, il prit son micro..

- En exclusivité, rien que pour vous, le champion, invaincu ! Invincible ! Incontesté et incontestable !! EDWARD BROOOOOOOCCCCCCKKKKK VOCAGE !!!

Chapitre XV – La Fuite


On est plus qu'à quelques mètres, accélère.
Deux secondes, j'ai quarante ans passés...
Et une quarantaines de kilos en trop surtout...
Je te remercie, rouquine.
Tu sais bien à quoi t'attendre.
Oui, je connais tes répliques.

Felicia traînait tant bien que mal ce boulet de Jäger jusqu'au spatioport de la capitale de Nar Shaddaa. Heureusement, pour eux, personne n'avait prévenu pour la mort de Mario, bien que...Avoir un chasseur de primes aux trousses n'était pas la chose la plus aisée, surtout que si il avait un peu de jugeote, c'est bien par là qu'il entamerait ces recherches.

Je te remercie Felicia, pour tout.
Oui, mais ce n'est pas fini, tu sais il y a encore.
Pour toi si désolé.

Il l'électrisa à l'aide d'un dispositif qu'il avait dissimulé sous sa manche. Jäger ce mit à courir vers l'ascenseur, s'y engouffrant, son cœur battait vite, alors qu'il quittait celui-ci, se dirigeant vers une navette de transport, la porte ouverte, il se mit à table, souffla, une fois, deux fois.

Une main se posa sur son épaule, il sursauta.

Un ticket monsieur ?
Ah !! Heu oui...Attendait...Je cherche, dans ma poche.. * il fouilla dans sa poche, il leva la tête vers le contrôleur, puis il fut prit de surprise, il tenta de ce levé, mais un coup de poing l’assomma, le serveur le prit, il le fit passé par la fenêtre qui était ouverte, il tourna la tête vers les contrôleurs et clients étonnés et certains apeurés *
Il n'avait pas de billets. * d'un coup, tout le monde sortit leurs billets pour les montrés alors que le « contrôleur » sortit du transport, évidemment, ce serveur était bien le chasseur, il gela Jäger, puis il le saisit pour l'emmener à Hubba le Hutt *


Felicia se réveilla, une douleur derrière la tête.

J'ai l'impression d'avoir passée une journée à écoutée de l'électro à fond dans les oreilles.

Elle soupira, se releva, quittant le spatioport bredouille, elle avait perdue Jäger, bientôt des mafieux risqueraient de s'en prendre à elle, elle n'avait aucun plan de fuite, aucune solution...Si ce n'est une seule, la plus irrationnelle, aller voir le Consiglière face à face... Elle se mit donc en route, mais...Elle allait donc avoir besoin d'un peu de renforts...

Chapitre XVI – Faire Face !

Alsien était dans l'arène, bloqué face à son adversaire alors que la cloche venait de sonnée, il conservait ses deux poings fermés proche de son visage, alors que son adversaire marchait lentement vers lui, prêt à le démolir.

Il s'avanca vers Edward, pour lui mettre un coup de poing mais c'est un coup de batte qui vint frappée sa joue gauche, le faisant chuté au sol, affaiblis, aux portes de la mort, il n'attendait plus rien, il avait perdu tout ce qu'il pensait valoir la peine de se battre...


Sur le croiseur de Darth Vinhilus, son excellence reçu un appel particulier.

Darth Vinhilus, je vois que vos actes sont des plus graves n'est-ce pas ? Envoyé des soldats dans la fosse, quelle idée pour déshonoré l'empire.
Attention commandant Deri'dess, ni vous, ni la Légion Zérek n'a la moindre critique à me faire, je suis Darth.
Et moi je suis un représentant impérial, qui a des informations ainsi que des preuves à l'appuie de vos actes, imaginez la tête de vos supérieurs quand ils recevront ce dossier.
Oseriez-vous me menacé ?
Non...Enfin je dirais qui si, c'est une menace, et soyez assurés que je les aient déjà mises à execution, sâchez que ce dossier a déjà était envoyé à vos supérieurs excellence.
Vous le paierez.
A coup sûr, l'empire récompense toujours les loyaux services lorsque certains membres mettent en péril l'équilibre dans les rangs. Aurevoir excellence.

La rage de Darth Vinhilus était intense "Mais qui aurait pu transmettre ces inform....Zelinaë !!" en furie, il quitta la pièce, hurlant au moindre garde qui passait "ou est Zelinaë ?!", la même réponse revenait sans cesse, " je ne sais pas excellence", il se dirigea vers un officier supérieur.

Excellence ?
Les prisonniers, où sont-ils partis ?
La fosse, sur Nar Shaddaa excellence.
Préparez ma navette, immédiatement !
A vos ordres excellence !!

Vinhilus se dirigea vers sa navette, à grande vitesse, toujours en furie.

Dans la fosse, Alsien était dans l'octogone, dans un mauvaise état, Edward n'avait pas subit le mondre coup, il s'approcha vers son adversaire au sol, il le mit à genoux, serrant sa main sur le crâne de son adversaire qui émit un hurlement (entièrement constitué de voyelles...), avec force, Edward rejeta Alsien sur le sol, alors que celui-ci s'en un bruit, se mit à genoux, le regard lourd, les yeux vers le ciel.

Donne le coup de grâce, je suis prêt.

Edward prit la batte à deux mains, levant celle-ci vers le ciel, il déporta son regard vers la gauche, la porte qui refermait l'octogone s'ouvrit, seule, par la force, une personne, en tunique rouge, capuche se dirigeait vers le ring, deux vigils tentèrent de la stoppée, une lame rougie jaillie, découpant le bras du premier, avant de s'enfoncer dans la poitrine du second.

Elle retira sa capuche, dévoilant le visage de Zelinaë, elle faisait face à Edward, elle se mit en garde, lui, il fit tournoyer sa batte de baseball, la haine entrant légèrement en lui, tel un puits qui se remplissait d'eau, prêt à explosé en un torrent de colère.

Zelinaë lui faisait face, elle se projeta vers lui, les deux donnèrent un coup en même temps, la lame du sabre découpa le bois de la batte, la détruisant en deux, un coup probablement prévu par Edward qui lâcha la batte, venant saisir la poignée du sabre laser de Zelinaë, se collant à elle, l'empêchant de manœuvrer, la force brute était du côté du Vocage, il l'a fit passer par dessus son épaule, elle dû lâcher son sabre laser pour retomber sur ses appuies, elle lui faisait face, mais cette fois, c'était lui qui était armé...

Dans les gradins, le consiglière regardait le spectacle, il murmura à un second.

Aller me chercher des renforts..
Bien monsieur. 

A l'entrée, un homme, très grand, puissant, vint se présenter à la sécurité, alors qu'ils souhaitaient l'abordé, il sortit sa longue épée, il se mit à les découpés avec une force surhumaine, avant de se ruer à l'intérieur du repère..


Zelinaë avait encore reculée, ne pouvant pas tellement s'exposer, elle tenta de glisser sur le sol, mais le balayage de sabra la toucha au flanc, elle tenta de se relever une fois à genoux, elle encaissa un coup de pied dans le ventre, venant s'écrasée contre une paroi de l'octogone, retombant au sol à côté de Alsien.

Tu n'étais pas obligé de venir tu sais..
Je le souhaitais...Vraiment.
Je voulais te dire une dernière chose avant de mourir Zelinaë.
Moi aussi..Je t'aime.
J'allais dire la même...Chose tu vois..

Edward était proche, sabre vers le ciel, alors qu'il entendit hurlait.

STOP !!


Il se tourna, c'était Jun, elle avait récupérée son fusil, et à première vue, mis en pièce la sécurité alentours.

J: Edward, je vous ai ramenez pour vous sauver, pas pour créer une nouvelle arme.


Depuis les tribunes le consiglière énervé se leva de sa chaise, tournant les talons avant de se voir pointé un canon de blaster sur le crâne.

Mais qu'est-ce que ça veut dire chasseur ?
J'ai reçu un nouveau contrat.
* Il se mit à rire * Combien pour vous le racheter ?
Ces contrats ne sont négociables.
Vous savez qui je suis ? Je suis Toni Léo.. * Le chasseur lui colla un coup de crosse à la machoire. *
Fais dodo.

Sur le ring, Jun fut rejoint du Wookie, Asuka et Neia, tous avaient leurs armes pour faire face à Edward.

J: Pose ton arme, dernière avertissement. * sur ses mots elle pointa son canon dans sa direction *

Chapitre XVII – Le Bouquet Final !


Zelinaë et Alsien s'entraidèrent pour se relevaient, alors que Asuka vint vers eux.

Vous pouvez partir, nous vous retrouverons, vous pouvez vous rendre au bar de Jun.
Bien * répondit Zelinaë * Merci..

Dans le fond, une voix roque s'éleva.

Non, vous n'irez nul part !

Darth Vinihilus, sous son masque énigmatique de sith ancestral. Il continua.

Je suis Darth Vinhilus, vaillant Seigneur de l'ordre noir des sith, vous ne passerez pas !!

Jun était prête à lui répondre, alors qu'elle sentit une main la poussée légèrement, elle se décala, laissant passée la machine qu'était devenu Edward Vocage, armé du sabre laser qu'il avait subtilisé à Zelinaë, il faisait face à Darth Vinhilus.

Je t'ai déjà vaincu deux fois, tu crois vraiment que tu peux m'arrêter, hein ?
Je ne viens pas vous arrêtez, je viens vous détruire. * ces yeux virèrent au rouge, la haine s'empara totalement de ce fou qu'il était *
Alors viens !! Je t'attend !!

Edward fit un bond avec la force sur son adversaire, croisant immédiatement son sabre avec le sien, dans un échange de coups rapides et intenses.

J: On doit sortir, Asuka tu aides la sith et l'impérial avec le Wookie, Neia, avec moi !

Jun se mise à tirer vers des gangsters qui venaient en renfort, elle avait conservait ses facultés, elle les enchainés, Neia elle, se jeta avec sa pique vers ses adversaires, les découpants avec férocité.

Edward fit un tour sur lui même, surprenant Vinhilus, lui collant un coup de sabre à l'épaule, le sith au sang pur reculé à chaque contact, la force du Roi déchu était bien supérieure à la sienne, Vinhilus tendit sa main pour uné éclair de force, la lame d'Edward l'absorba, les résidus restants sur sa lame lui offrir une impulsion lorsque son sabre rentra en contact avec celui de son adversaire.

Les deux continuaient de se battre, alors que les deux combattants venaient de sortir de la salle, toujours en plein combat, Edward envoya un coup de pied en pleine poitrine du sith, il écrasa la rambarde de sécurité et chuta.

Jun et son groupe sortirent du repère, déchargeant ses blasters comme elle le pouvait sur ses adversaires.

J: Si on fuit pas dans les deux minutes, c'est foutu !

Elle sortie son blaster de poche, tira à deux reprises à l'aveugle sur son côté droit, deux gangsters avaient tentés de s'infiltrer, désormais ils étaient morts.

J: Bande de lâches.

Edward se pencha, pour voir si son adversaire était bien mort, il sentit sa main saisie, Vinhilus le tira, les deux chutèrent de plusieurs mètres, retombants sur une sorte de gouttière, ils se relevèrent, aux bords d'un précipice, ils conservaient tant bien que mal leurs équilibrent, se donnant un coup de sabre au passage.

V: C'est la fin, il n'y a plus rien à espérer pour toi !
E: La victoire est déjà mienne.

Edward lui envoya une poussée de force, mais Vinhilus répondit de la même manière, les deux forces s'opposaient, les deux ne bougeaient pas, tentant de résistais à l'assaut de l'adversaire, celui qui lâcherait tomberait dans le précipice !


Jun était à sec, Alsien lui avait donné son blaster, ils s'étaient recroquevillés derrière des caisses alors que Jun était la seule à encore opposée une résistance aux adversaires, et quelle résistance ! Un tir, un mort !

J: Je vais être à sec !

Elle se recroquevilla derrière la caisse. « pardon.. », elle retourna son blaster vers sa tempe...Leva les yeux et hurla «  tous avec moi ! », elle se leva et se mit à courir, personne n'avait rien compris, mais ils l'a suivirent, en face d'eux, une navette, qui les attendaient, ils se jetèrent dans le sas, alors que la navette prit son envol.

J: Tout le monde est là ?
A: Oui...Tout le monde est là...

Une voix s'éleva, celle de Felicia.

F: Parfait !

Jun se leva, venant face à elle.

J: Merci, je ne sais pas pourquoi vous êtes venue nous aidaient mais merci.
F: Hé bien, je devais trouvé un moyen de fuir cet endroit, j'ai donc appelée une personne que j'ai trouvée dans l'annuaire qui pourrait aisément ramenée un vaisseau, je n'ai eue qu'à lui racontée mon histoire que je savais l’intéresserait, en contre-partie, on venait vous sauvez.
J: Ah ? Qui donc ?
K: Moi.

Kayla Vocage sortie du cockpit, elle semblait en effet bien enceinte.

K: On ne traîne pas ici, je suis censée me reposée dans mon lit, et j'ai un enfant en route, donc, je vous laisse en lieu sûr puis basta.
J: Kayla, je te remercie.
K: Ou est-il ?
J: Il était contre Vinhilus...Pas de nouvelles depuis.. Tu veux qu'on y retourne ?
K: Non...C'est trop tard maintenant.. * Elle quitta la pièce en soupirant *

Interlude : Il y avait un projet


Les heures avaient passées depuis le combat, tout le monde était assis dans une salle de réunion, mise à part Kayla, qui elle, entra dans la pièce. Jun leva les yeux vers elle.

K: Bien, j'ai pu voir, l'empire ne poursuivra ni Zelinaë, ni Alsien pour désertion, jugeant que ce n'est pas le cas, en revanche, ils ne peuvent vous acceptez parmi eux.
Z: Bien..
A: Nous comprenons..
K: Navrée pour vous, pour les Yaë, je gage que retourner dans le quartier rouge serait une mauvaise idée de vôtre part, alors Adumar peut vous conservait parmi elle, provisoirement.
J: Bien, merci Kayla.
K: Puis pour toi Felicia.. Tes photos et écris ont pu être envoyés en copie aux journaux correliens, ainsi qu'à d'autres histoire que l'affaire face du bruit.
F: Un sacré scoop. Mais bon...Que vais je faire maintenant ? Je veux dire, je suis virée de l'universitée, de mon appartement, de mon travail de pigiste et mon patron en contrebande est congélation carbonique chez un Hutt.
J: Chouette CV.

Kayla resta silencieuse un moment, préoccupée, Jun le remarqua.

J: Qui a t-il Kayla ?
K: Hé bien, on m'a demandait de vous parlez de quelque chose. * tout le monde se tournèrent vers elle * Avant la mort de mon meilleur ami, mon frère, Wedge..De Fax et des autres têtes brûlées, il y a eut tout un tas de choses défiants le naturel, bien plus que la force, sith ou jedi, ce que je veux dire, des armées d'autres dimensions, des failles dimensionnelles..Ma sœur a était mise dans le coma par une bête surpuissante ne venant pas de cet univers..
J: Kayla.. * lui prenant la main, puis d'une voix voulant la soutenir * Que veux tu nous dire ?
K: Il y avait un projet, une équipe de personnes pouvant faire face à ce genre de menaces, ils souhaitaient l'appeler « Garde Blanche », car Avengers, Defenders et Gardiens de la Galaxie étaient prit apparemment, du coup, une organisation indépendante aimerait vous voir « vous », en tant que garde blanche.
J: Et toi qu'est-ce que tu en penses ?
K: Ce n'est pas mon combat, j'aurai refusée, mais vous n'êtes pas moi, aujourd'hui, c'est à vous de choisir, prenez vôtre temps. * Elle quitta la pièce *

Jun regarda le dossier, jeta son regard sur Alsien, Zelinaë, Felicia, Asuka, Neia et le Wookier l'air de dire « on fait quoi ? », bizarrement, chacun regardèrent le dossier, un par un, puis leurs tête se releva, regardant Jun, comme si ils avaient choisis leurs Capitaine.

J: * Elle se mit à rire * Sérieusement...Ne me regardée pas comme ça...Vous êtes sérieux ? C'est ce que vous voulez ? Hé bien, je pense que l'on a tous une vie qui s'offre à nous, une vie sans mafia, mais, ça..Ce n'est pas ce que je demande, cette initiative, ce ne sera pas la mienne, pas tout de suite, c'est bien trop tôt.

Felicia la regarda.

F: Hé bien nous attendrons, après tout, ce n'est pas à nous de sauver la galaxie aujourd'hui, peut être demain, mais la paix est aussi un combat, en plus, j'ai promis d'être rentrée pour 19h.
J: Tu vie où ?
F: Chez toi maintenant, je t'expliquerais quand tu auras dis oui. * Elle lui fit un clin d’œil *

Une fois retournées sur la terre ferme, Jun, Asuka et Neia s'étaient rendus à la zone de détente d'Adumar, elles fêtaient cette victoire en mangeant une glace, à la vanille pour Jun, framboise pour Asuka et caramel au beurre salée pour Neia.

J: Je sais ce que vous allez dire, mais c'est provisoire pour rappel.
A: Nous avons nôtre propre chemin à parcourir Jun, cela ne veut pas dire que cela ne sera pas aux côtés d'autres personnes.
N: Je confirme, j'aime le beurre salée.
J: Oui, tu me fais goutter ?

Sur la plage, le soleil se couchait en cette soirée de jour de vie sur Adumar, Alsien et Zelinaë marchaient sur la plage en maillot de bain, main dans la main.

A: J'ai toujours dis que l'amour était universelle.
Z: Nous en sommes la preuve mon amour.
A: Tu penses que...
Z: Oui ?
A: Je ne sais pas, peut être que tu accepterais de suivre un pauvre petit être humain de l'autre côté de la rive histoire que l'ont reprennent nôtre discussion de l'infirmerie ?
Z: * elle se mordille la lèvre inférieure * On en étaient où déjà ?
A: A là je crois.

Alsien vint embrasser tendrement Zelinaë.


Sur le croiseur de la légion Zérek, Kes'oderi'dess finissait d'écrire son rapport sur les derniers événements, une jeune chiss vint se présenter dans son bureau.

K: Tiens, tu n'es pas à la cérémonie du jour de vie ?
C: Tu sais que si tu n'y es pas, ça ne me fera pas sourire mon oncle.
K: Bon d'accord...Je peux poser la plume pour ce soir..
C: Chouette !!

Casi'iam'bild et Kes'oderi'dess se dirigèrent donc vers la cérémonie.

Felicia entra dans la chambre, Kayla était silencieuse, assise sur une chaise.

F: Vous, vouliez me voir ?
K: Oui, je voulais te dire que j'ai étais impressionnée de ce que tu avais fait.
F: Merci beaucoup Kayla, ça me touche.
K: Voilà...Je sais que ce n'est pas dans mes habitudes, mais j'aimerais beaucoup que tu reprenne mon vaisseau.
F: Sérieusement ? Pour de vrai ?
K: Oui, pour de vrai, il appartenait aux têtes brûlées, maintenant, il est à toi.
F: Merci ! *elle vint se jeter dans les bras de Kayla qui se plaint immédiatement en se tenant le bas ventre * Désolé, vraiment désolé je vais aller chercher un médecin pour..
K: T'en fais pas...Ça va aller, file..
F: Merci encore ! Mais...* d'un ton plus calme * Elle..Elle va s'en tirée ?
K: J'espère..Laissons là se reposée, je repasserai la voir demain.

Kayla lâcha la main de Lexia, elle sortit en même temps que Felicia, Lexia avait toujours les yeux fermées, les deux mains le long du corps...Dans le coma, elle faisait un long sommeil...
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Chapitre XVIII – La marche des morts


 Nar Shaddaa...Bas quartiers, le complexe mafieu Léoni n'est plus que brasier, Edward s'était mesuré à Vinhilus, les deux ont finis par en découdre...Une confrontation de poussées de force les avaient fais chutés dans les égouts...

 Edward se releva péniblement, alors qu'une sorte d'être tentait de le dévorer... Il le repoussa de sa main cybernétique, il tourna la tête, cherchant dans la viscosité de l'eau mélangée à divers déchets, il trempa sa main, cherchant son sabre, un cri animal sortait de la bouche de ce drole d'être...Griffu, ça peau marbrée, il se jeta sur l'homme, il cherchait ! Cherchait ! Et enfin ! Une lame rougeatre s'illumina, d'un coup sec, il découpa ce genre de monstruosité en deux...On dirait un rakgoule..

il entendait le bruit des murs grinçants, alors que l'odeur neauséabonde ne pouvait pas atteindre son nez, le bienfait d'un masque respiratoire, il le savait, une morsure, était mortelle..

Il avançait, tant bien que mal...Ces forces amoindris ne lui donnaient guère soutiens dans cette situation précaire, il devait éviter ces monstruosités.

L'ôra sombre des égouts, il ne voyait rien, sabre allumait, seule une lueure apparaissait, il toussa, mélant ceci à ce bruit mécanique qu'offrait son masque, allait-il y passer maintenant ? Il ne devait pas se laisser perturber, il devait s'en sortir, alors il continua sa route...Se tenant toujours le bas ventre...


Au fil de sa route, dans l'ombre, des visions vinrent à lui, des souvenirs...Comme celui-ci...Lorsqu'il était enfant..


Edward, fils, Edward, lève toi.
Pas encore, il est tôt père.
Pas encore assez.

Edward ouvrit les yeux, il avait dix ans, il était encore sur Adumar, à l'abri des regards.

Pourquoi tu me réveils, tu sais que dormir c'est bien aussi papa ?
Je sais, mais, je dois te montrer quelque chose, lève toi, paillasson.

Edward se leva, suivant son père, il vint ouvrir la porte qui menait sur le balcon.

Après toi, le dormeur.
Merci..

Il arriva sur le balcon, le soleil était déjà très présent ce matin là, de ce balcon, il apercevait toute la citée, ces yeux brillaient, devant l'immensité de la civilisation.

Tu sais Edward, un jour, j'en suis certain, tu changeras le monde, nôtre monde, car il y aura toujours ce choix en toi, celui des autres.

La vision se coupa, de la lueur du soleil revint le sombre égout, dans lequel rats se battaient, toujours la main couverte de sang appuyant sur sa plaie, il titubait, les yeux rougis, les cheveux gras et la mine affaiblis, sa respiration était compliqué, il prit un embranchement, prenant par la droite, alors qu'une lumière semblait être au fond de ce couloir, il s'y dirigea, étrange, il se retrouvait désormais dans une grotte, sur tatooine, la grotte dans laquelle il était resté caché...

Il sortit, alors qu'un marchand itinérant passait sur son Luggerwahl, il soupira, celui-ci ne l'avait pas remarqué, au loin une fumée sombre, il se dirigea vers elle, il vit une togruta et un homme, vingtaine d'année, sabre en main ce défaire d'hommes des sables, les tuskens, il s'approcha encore un peu avant de comprendre que ce jeune homme c'était lui, et cette togruta qu'il avait aidé, elle vivait sa vie désormais, il espérait qu'elle allait bien, cette ancienne padawan Jedi..

Son portrait s'approcha.

Hey toi.
Oui, moi ?
Oui, pauvre con, aller, réveil toi imbécile, réveil toi.

Il secoua la tête, se retrouvant à nouveau dans l'égout, la main au bas ventre, son portrait était désormais une monstruosité, empalée contre un tige de duracier, celle-ci était coincée, elle tendait les bras pour le saisir, son regard vers la chose était dédaigneux, il se serra contre le mur, évitant d'être touché par la bête, continuant son chemin, les minutes défilaient encore et encore...

Cette fois-ci, il se rappela de sa rencontre avec Lexia et Kayla, elles l'avait bien accueillis, comme si il avait toujours vécu avec elles, alors qu'il n'était qu'un étranger à l'époque, il revit leurs deux portraits, toutes deux souriantes.

J'espère qu'elles sont biens portantes, je les reverraient...


Il se stoppa, plié de douleur, sa main gauche dégoulinait de sang, la plaie lui faisait terriblement mal, et rien dans ces égouts n'inspiraient à une solution, peut être que le fait d'avoir toujours refoulé la haine l'avait trompé, avait-il fais les mauvais choix ? Ce n'était pas le moment de douter..

Son regret était de ne pas être aux côtés d'Ekaterina en ce moment même, il se rappelait de chaque traits de son visage, alors que la douleur l'envahissait terriblement, il marchait, marchait, repensant à Azylum cuisinier...Quelle image, désormais, il transpirait, de la sueur dégoulinait de son front, alors qu'il semblait à nouveau avoir trouvé la sortie, alors qu'il sentait ces forces faiblires, il s'adossa à une sorte de poteau, laissant le sabre chuter sur le sol...

Retirant sa main gauche de la plaie, là où il était probablement mortellement infecté, il détailla du regard la marque de dents, cela ne laissait plané aucun doute, c'était une morsure..
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Message par Bild Sam 3 Nov - 13:56

Chapitre XIX – Paix et Tranquilité


Ses yeux étaient fermés, son corps allongé, alors que les flammes allaient le recouvrir tel une couverture, la paix s'était emparée de son âme, de son coeur, plus de larmes, plus de haine, plus de fardeau, plus de tristesse, juste de la tranquilité, c'est à cette heure-ci tardive, le coeur fleurit, réunis autour de son corps meurtris, que les derniers hommages furent rendus, la paix, avant le dernier voyage vers l'au delà, là où il ferait son dernier voyage après que la lame de son élève l'ai emmené dans un futur certain et accompli.

Dans cette paix unique, où pouvait se trouver son esprit ? Qu'est-ce que Edward pouvait visualiser, qu'est-ce que la paix ? Lui, qui a rêvé de fonder sa vie avec Ekaterina, d'être un bon mentor pour Satomi et être le digne successeur de son père, tout ceci, il n'avait pu le résoudre, offrant un bilan lourd et triste.

Le soleil était haut, deux ombres marchaient, un enfant tenant la main de son père, vers une destination inconnue, alors qu'ils se trouvaient sur un petit chemin, sur le côté, des animaux, enfin, à ce jour, il pouvait se reposer, marcher aux côtés de son père, dans la paix, il l'a bien mérité.

C'est ainsi que Vanan et Edward, père et fils marchaient en direction du soleil, pour découvrir l'aube d'une future journée, ensoleillée.
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Message par Bild Lun 5 Nov - 21:50

FIN



Le BG de noël reviendra...
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